Sur les toits à forte pente (pentes supérieures à 4:12), le travail est évidemment exigeant. La fatigue musculo-squelettique et l'hypoglycémie peuvent contribuer aux chutes, tout comme la chute d'outils. Les outils doivent être attachés 100 % du temps. Les pentes raides présentent des dangers évidents, mais les toits à faible pente (4:12 ou moins) ont deux fois plus d'incidents que les toits à forte pente. La complaisance est inévitable, alors préparez-vous. Les travailleurs sont également enclins à avoir une "vision étroite" sur les ponts commerciaux de très grande taille. Les lignes d'avertissement, les zones d'accès contrôlé et les moniteurs de sécurité sont des contrôles administratifs sans valeur si la personne compétente ne vérifie pas les sites et ne licencie pas les contrevenants. Les pressions exercées sur le lieu de travail en période de récession économique peuvent avoir des effets importants sur la sécurité des toitures. Le slogan "Faire plus avec moins et plus vite" n'apparaît peut-être sur aucun papier à en-tête, mais il est devenu un mantra tacite sur presque tous les chantiers de construction à Doubs. Bien que cela puisse être une cause indirecte, l'augmentation déraisonnable de la production quotidienne au-delà des limites de sécurité peut conduire directement à des actes et des conditions qui provoquent des chutes de toiture.